Trois nouveaux haïkus pour le soir.
Fourmis sans ombre Je vous avais promis la suite. La voici donc. J'ai toujours trouvé difficile de me rappeler, en hiver, les sensations de l'été. Et voilà que Bashô, paradoxalement, en évoquant la fraîcheur, me fait ressentir la chaleur estivale. J'espère...